COIN LECTURE Nouvelles des élèves de 4e

C’était une jeune femme qui s’appelait Maëve. Elle était souriante, belle et gracieuse. Elle travaillait dans une petite agence de voyage à Paris. Pour la première fois Maëve prit ses vacances en Bretagne plus précisément à Perros-Guirec dans une maison avec vue sur la mer. Elle arriva un dimanche, la première chose qu’elle fit ce fut d’aller sur la plage. Maëve sentit qu’on l’observait, elle se retourna mais ne vit rien. Un soir Maëve rentra d’une soirée et eut l’impression qu’on l’observait pour la deuxième fois depuis qu’elle était arrivée ici. Arrivée chez elle, elle alla se coucher.Dans sa chambre Maëve sentait une présence mais ne fut pas effrayée. Durant la nuit, elle se leva pour boire, quand elle revint elle crut voir son mari allongé sur son lit,elle se dit que ce n’était pas possible car il était mort deux mois plus tôt dans un accident de voiture. Ne pansant guère à cette image elle alla se débarbouiller puis quand elle revint, il n’était plus là. Le matin Maëve se sentit fatiguée car elle n’avait pas dormi de la nuit à cause de ses visions. Elle descendit prendre son petit déjeuner et vit une enveloppe sur la table, elle l’ouvrit et sursauta. Cette enveloppe contenait une lettre qui venait de son mari. Maëve devait le rejoindre au plus vite dans le bar du coin : le « Sherlock Homes bar ». Elle s’y rendit et là, Maëve vit son mari sur une table qui l’attendait. Craintive, elle s’assit en face de lui. Elle lui demanda alors ce qui c’était passé et pourquoi il n’était pas mort, alors que deux mois auparavant elle assistait à son enterrement. Il lui répondit qu’il lui avait fait croire qu’il était mort parce qu’il était recherché par la police Parisienne. Il était donc venu en Bretagne à Perros-Guirec pour se cacher. Il lui dit aussi que c’était lui qui la suivait parce qu’il cherchait à la revoir ! Ils se rendirent donc dans la maison que Maëve avait louée pour ses vacances. Quelque mois plus tard, ils achetèrent la maison. Leur vie se passait bien même très bien jusqu’au jour où …….      Manon Hamelin et Pierre Barbé 4°C